Photo de voyage

Buenos Aires en Argentine

• Un chien : Un chien jouant avec une fontaine d’eau du Microcentro de Buenos Aires. Ce quartier est le centre administratif et commercial de la capitale. La Plaza de Mayo, au cœur du quartier, est le théâtre de rassemblements fréquents, tandis que les axes piétonniers sont envahis par les hommes d’affaires et les touristes.

Iguazú en Argentine

• Des oiseaux : Fréquent dans le parc national d’Iguazú, le geai acahé a pour nom scientifique Cyanocorax chrysops. Son plumage attire l’attention par ses couleurs et ses reflets. Cet oiseau possède un assez vaste répertoire et son intelligence lui permet de s’adapter dans des milieux très variés.
• Un toucan : Le toucan toco, une des cinq espèces de toucans qui habitent le parc national d’Iguazú, est le plus grand des toucans. Son énorme bec incurvé mesure vingt centimètres de long, mais il est très léger. Ce magnifique oiseau est généralement peu farouche et se laisse facilement approcher.
• Un coati : Le long des sentiers du parc national d’Iguazú, il est fréquent de croiser des coatis. Ce mammifère a un corps mince et élancé, couvert d’un pelage marron gris. Son museau pointu se termine par une petite trompe mobile lui permettant de chasser lézards et insectes.

Les Andes en Argentine

• L’alpaga : L’alpaga, le plus petit des camélidés, a été domestiqué il y a 6 000 ans par les éleveurs de la cordillère des Andes. La très grande qualité de sa laine fit de l’alpaga un signe de richesse sous l’empire Inca. Ses fibres sont reconnues pour leur caractère soyeux, isolant et résistant.
• Le lama : Le lama est un animal mythique dans l’histoire des civilisations andines. Il fait partie des premiers animaux domestiqués par les peuples des Andes. Surnommé « frère silencieux » par les Incas, le lama jouait un rôle vital dans la vie des habitants de l’altiplano.

La Patagonie en Argentine

• Un manchot : La presqu’île de Valdés est un site exceptionnel de reproduction des mammifères marins. Elle héberge d’importantes populations de baleines franches, d’éléphants et de lions de mer. Il s’y trouve aussi la plus grande colonie de manchots de Magellan en dehors de l’Antarctique.
• Un cheval en liberté : Un cheval en liberté dans la vallée du Río de las Vueltas aux abords d’El Chaltén. Fondé le 12 octobre 1985, le village d’El Chaltén est le plus jeune de la nation argentine. Ce village, devenu en quelques années la Mecque de l’andinisme, est une des portes du parc national Los Glaciares et du massif du Fitz Roy.

Carthagène en Colombie

• Un perroquet : L’amazone à front jaune est un petit perroquet d’environ 35 centimètres. Il est complètement vert hormis une petite tache de jaune juste au‑dessus des narines et quelques touches de rouge sur les ailes. Ses petits yeux ont un iris noir et sont cerclés de blanc. Leurs capacités vocales en font une espèce de perroquets extrêmement populaires

Santa Marta en Colombie

• Un crocodile : Un crocodylus acutus, dit crocodile américain, au bord d’une lagune côtière du parc national de Tayrona. Il s’agit d’une des plus grandes espèces de crocodiles. Ce mâle adulte a une taille de d’environ six mètres. Ce crocodile, qui chasse la nuit, se nourrit principalement de poissons, mais aussi de crabes, de tortues et d’oiseaux.
• Des poissons : Le soir, avant le coucher du soleil sur la plage de Taganga, les pêcheurs étendent leurs interminables filets et proposent leurs poissons. Ici les thons sont frais et sont vendus dès leur déchargement des bateaux aux habitants du village, aux restaurateurs et aux badauds.
• Un perroquet : Les environs de Santa Marta abritent des colonies de perroquets amazones à front jaune. Comme toutes les espèces d’amazones, cet oiseau a un plumage essentiellement vert. Il vit dans les forêts de basse ou moyenne altitude, et il est capable de s’aventurer en ville.
• Des colibris : Colibris en vol dans une clairière proche de Minca dans la Sierra Nevada de Santa Marta. Fascinant par sa toute petite taille et son agilité, cet oiseau passe de fleur en fleur pour trouver le nectar qui constitue l’essentiel de son alimentation. Ils sont capables de rester en vol stationnaire et de voler en arrière. Leur vol si particulier produit un bourdonnement.

Bali et Lombok en Indonésie

• Un singe : Un singe devant le Barujari. Ce cône volcanique très actif occupe la caldeira du volcan Rinjani avec le lac de cratère Segara Anak. Cette belle caldeira, d’une longueur de neuf kilomètres et d’une largeur de six kilomètres, est l’une des rares caldeiras crée par l’explosion et non de l’implosion de la chambre magmatique sous‑jacente.
• Une source chaude : À Lombok, les sources chaudes du volcan Rinjani sont un lieu de vie pour les colonies de singes qui vivent sur les pentes du volcan. En 1997, le volcan et sa région sont devenus un parc national d’une superficie de 41 mille hectares. Pour les habitants de Lombok, ce volcan est sacré.

Bornéo en Indonésie

• La contemplation : Un singe contemple le coucher du soleil. Ce singe, qui vit en Asie du Sud‑Est, est un macaque crabier communément appelé macaque à longue queue. Il tient son nom de son régime alimentaire composé de fruits, d’invertébrés, de grenouilles et de crustacés comme les crabes.
• Les singes : Les macaques crabiers passent la majeure partie de leur temps perchés ou assis sur les branches des arbres. Leur longue queue leur sert de balancier. Ce singe, social et grégaire, vit en groupe de 20 à 30 individus, essentiellement dans les forêts côtières. Cependant, ce singe ne craint l’homme et il n’hésite pas à fréquenter les villes et les villages en quête de nourriture.
• Le poisson séché : Le séchage du poisson frais au soleil pendant plusieurs jours est une méthode de conservation ancestrale qui permet de le stocker et le commercialiser aisément dans cette région tropicale. Les eaux poissonneuses des rivières de Bornéo sont une source de subsistance pour ses habitants.

Java en Indonésie

• Un cheval : Un cavalier et son cheval patientent au pied du cratère du Bromo dans la mer de sable. Cette mer minérale d’apparence lunaire est composée de sable volcanique issu des précédentes éruptions. Le soleil, en fonction de sa course, ravive les couleurs grises, brunes et ocre du relief.
• Un varan : Un varan sur la plage, allant prendre son bain de mer dans les eaux cristallines de Java. Ce lézard de grande taille a des mâchoires puissantes et des pattes armées de cinq griffes acérées. Il se nourrit de toutes sortes de petits animaux, dont des insectes, des serpents, des oiseaux et des œufs.
• Des cerfs : Le parc national d’Ujung Kulon, classé au patrimoine mondial de l’Unesco en 1992 abrite une faune et une flore extrêmement riches, ainsi que des magnifiques plages et fonds sous‑marins. Parmi sa faune se trouve le rhinocéros unicorne de Java, l’imposant buffle banteng, des panthères, des crocodiles, des singes, des cerfs et des oiseaux.

Le Maroc

• Un caméléon : Le caméléon commun est une espèce autochtone d’Afrique du Nord. Cet animal, de la famille des reptiles, présente de nombreuses particularités anatomiques et biologiques qui le rendent habile acrobate et bon chasseur. Ce reptile diurne et arboricole, qui chasse des insectes, est un animal protégé.
• Le singe magot : Le singe magot, ou macaque berbère, est le seul macaque vivant sur le continent africain. Dépourvu de queue et adapté à l’environnement montagnard, il vit dans les forêts du Maroc et de l’Algérie. Dans la vallée d’Ouzoud, ce singe observe son environnement assis sur une branche de caroubier.
• Un âne : Un âne broutant de l’herbe fraiche en attentant son chargement dans la vallée des Aït Bouguemez au Maroc. Dans cette vallée du Haut Atlas central, surnommée la « vallée heureuse » en raison de ses cultures abondantes, la vie des Berbères est immuable. À l’écart de l’agitation du monde moderne, elle suit paisiblement le rythme des saisons.
• L’arganier : L’arganier est un arbre sauvage qui pousse sous le soleil de la côte Atlantique, entre Essaouira et Agadir. L’huile d’argan, issue de son fruit, est utilisée notamment pour la fabrication des cosmétiques. Les chèvres sont très friandes des fruits de l’arganier et n’hésitent pas à grimper sur ses branches.
• Un requin : Un petit requin échoué sur la plage d’Imsouane, l’une des grandes plages de sable blanc de la côte Atlantique du Maroc. En arrivant au village d’Imsouane, la route longe la falaise et donne une vue imprenable sur la baie et sa plage. Ce tranquille petit port de pêcheurs est célèbre pour sa plage avec ses barques bleues échouées et son spot de surf.

Mexico au Mexique

• Des cavaliers : Des cavaliers mexicains défilent sur le Zócalo de Mexico en tenue avec leur sombrero. Le Zócalo est le centre administratif et politique de la capitale. Cette grande place est bordée par le palais du Gouvernement du District Fédéral et des bâtiments administratifs.

Le golfe du Mexique au Mexique

• Puebla : La charmante ville de Puebla fut fondée en 1531 à 2 170 mètres d’altitude entre les imposantes silhouettes des volcans Popocatépetl, Ixtacihualtl et La Malinche. Elle est surnommée la « ville des anges » de par la grande quantité d’églises que l’on trouve dans cette ville et ses alentours.
• Un iguane : Un iguane se réchauffe sur la pierre chaude d’une pyramide du site archéologique maya de la cité d’Edzná. Située en pleine jungle tropicale, cette cité précolombienne fut fondée vers l’an 400 av. J.‑C., puis elle a atteint son apogée entre 600 et 900 ap. J.‑C., avant une désertion totale vers 1450.
• Un râle de Cayenne : Ce râle de Cayenne marche sur une passerelle au‑dessus de la mangrove de Celestún. Cette zone de mangrove, la plus grande du golfe du Mexique, abrite plus de 300 espèces d’oiseaux, dont des aigrettes garzettes, des pélicans, des hérons et une colonie de plusieurs milliers de flamants roses.
• Les flamants roses : Des flamants roses se reposent dans la lagune du Parque Natural del Flamenco Mexicano. Cette réserve naturelle est une zone humide composée de lagunes, de mangroves, de marais salants et de cénotes. L’eau douce de l’estuaire de la rivière Celestún se mêle aux eaux salées du golfe du Mexique créant un écosystème unique.
• Un pélican : Un pélican vole au ras de l’eau devant une colonie de cormorans sur un banc de sable de la réserve naturelle de Celestún. Ce site a été classé réserve de biosphère par l’Unesco. Le paisible village de pêcheurs de Celestún, dont le nom signifie « pierre peinte » en maya, se situe à l’ouest de Mérida sur la côte du golfe du Mexique.

Le Yucatán au Mexique

• Un iguane aux aguets : Un iguane aux aguets sur le site archéologique de l’ancienne cité de Chichén Itzá. Cette grande cité maya, fondée en 435, connaîtra son apogée vers l’an 600. Après s’être retrouvée presque abandonnée, elle renaîtra véritablement vers l’an 1000, avec l’arrivée des tribus toltèques en provenance du centre du Mexique.

Le Chiapas au Mexique

• Un crocodile : Les crocodiles américains se trouvent en haut de la chaîne alimentaire de l’écosystème du canyon del Sumidero. Ce canyon, avec son microclimat, est l’habitat naturel de crocodiles, de singes, de hérons, de vautours, de tortues, et d’une centaine d’autres espèces terrestres et aquatiques.

Le Sri Lanka

• Un éléphant : Pendant la saison sèche, un grand nombre d’éléphants sauvages se donnent rendez‑vous sur les berges herbeuses du lac du parc national de Minneriya. L’éléphant d’Asie, qui est une espèce menacée, est l’animal sacré par excellence et tient une place fondamentale dans la culture srilankaise.
• Une famille de singes : Le macaque à toque est une espèce qui ne vit que sur l’île du Sri Lanka. Ce petit singe, aussi à l’aise sur terre que dans les arbres des forêts, se nourrit essentiellement de fruits et de graines. La plupart des temples abritent des groupes de macaques qui se régalent d’offrandes chapardées.

La Cappadoce en Turquie

• Un âne : Sur le relief lunaire de la Cappadoce, l’âne est un moyen de transport fiable pour les agriculteurs. Cette région tire ses principales ressources de l’agriculture. La population y cultive du blé, des pommes de terre, de l’orge, des oignons et une grande variété de fruits.