Photo de voyage

La Terre de Feu en Argentine

• Au bout du monde : Le phare Les Éclaireurs est situé sur le canal Beagle. Il a été installé sur un îlot rocheux afin de guider l’entrée est de la baie d’Ushuaïa. Il est construit en brique, sa tour mesure onze mètres de hauteur et trois mètres de diamètre. Devenu emblématique du canal Beagle, il est souvent confondu avec le phare de San Juan del Salvamento dit « Le phare du bout du monde ».
• Le détroit de Magellan : Le ferry Cruz Australis effectue la traversée du détroit de Magellan. Ce détroit sépare le continent sud‑américain de la Terre de Feu. Découvert le 21 octobre 1520 par Magellan, c’est le plus important passage naturel entre l’Atlantique et le Pacifique. Sa largeur varie de 4 à 33 kilomètres pour une longueur d’environ 600 kilomètres.
• Des voiliers : À l’extrême sud, où les eaux de l’Atlantique se mêlent à celles du Pacifique, la baie d’Ushuaïa est le point de départ des voiliers qui parcourent l’été les canaux entre la Terre de Feu et les innombrables îles jusqu’à l’Antartique. Au fond de la baie, qui est ouverte sur le canal Beagle, se trouve la ville d’Ushuaïa.

Santa Marta en Colombie

• La plage d’Arrecifes : La longue et magnifique plage d’Arrecifes avec ses redoutables vagues est le passage obligé pour rejoindre Cabo San Juan de Guía et le site archéologique de Pueblito. Ce site renferme les secrets de la civilisation Tayrona qui occupa la région depuis l’époque précolombienne jusqu’à la colonisation.

Le Guatemala

• Livingston : Livingston, ancien plus grand port du pays, est la capitale de la culture garífuna. Les garífuna sont d’anciens esclaves noirs qui vécurent d’abord à Saint‑Vincent, avant d’être transférés il y a plus de deux cents ans sur la côte caribéenne du Guatemala. Leur culture est reconnue pour sa délicieuse cuisine.

Bali et Lombok en Indonésie

• L’île de Bali : Passer de Java à Bali, traverser le petit détroit séparant Banyuwangi de Gilimanuk, c’est presque changer de monde. Avec une population à très grande majorité hindouiste, l’île montagneuse de Bali, qui n’est qu’à deux kilomètres et demi de l’île de Java, constitue un monde à part.
• Uluwatu : Le temple d’Uluwatu, dédié à la mer de Bali, est situé à l’extrême sud de l’île. Il a été construit au XIᵉ siècle au sommet d’une falaise et ses ruines sont aujourd’hui habitées par une colonie de macaques crabiers. Au pied de la falaise se trouve l’un des plus beaux spots de surf de Bali connu sous le nom de « Uluwatu Impossible ».
• Dreamland : Entre Padang Padang et Impossible, près du petit village d’Ungasan, le spot de surf Dreamland est le seul beach‑break de la péninsule du Bukit. Ses belles vagues déferlent sur un sable blanc et chaud. Sur cette péninsule se cachent une série de petites criques, toutes plus charmantes les unes que les autres.

Bornéo en Indonésie

• Le crépuscule : Le crépuscule après le coucher de soleil sur le détroit de Makassar à Balikpapan. Ce détroit, entre l’île de Bornéo et l’île de Sulawesi, relie la mer de Célèbes et la mer de Java. Rares sont les lieux susceptibles de rivaliser avec l’Indonésie pour admirer de beaux couchers de soleil.

Java en Indonésie

• Les fleurs : L’île de Java possède de nombreuses plages de sable fin baigné par des eaux turquoise et cristallines, et bordées d’une végétation luxuriante. Cette flore est composée de palmiers, de cocotiers et de magnifiques fleurs. La flore tropicale de Java abrite aussi de nombreuses espèces d’orchidées.

Sulawesi en Indonésie

• Du bois et noix de coco : Une souche de palétuvier et une noix de coco, sur une plage de Bunaken, baignent dans les eaux limpides et particulièrement riches de l’extrême pointe nord de la Sulawesi. Dans ces eaux turquoise, on y trouve la plupart des espèces de coquillages géants existant au monde, et 70 genres de coraux.
• Les îles Togian : À trentes kilomètres au sud de l’équateur, au cœur du golfe de Tomini, l’archipel des îles Togian est composé de sept îles principales et de centaines de petites îles. Formées par l’activité volcanique, ces îles sauvages sont bordées de cocotiers et de plages de sable blanc.
• Un rocher : Un rocher émergeant de l’eau devant Kadidiri, l’île paradisiaque de l’archipel des Togian. Cet archipel, protégé par une barrière de corail presque continue, possède des paysages sauvages de toute beauté. Au sein de ses eaux turquoise se trouvent de magnifiques fonds marins.
• Une jetée : La jetée de l’île de Kadidiri au sein de l’archipel des Togian. L’écosystème marin et terrestre de cet archipel est particulièrement préservé. Ses récifs époustouflants, ses petites plages de sable blanc, sa mangrove verdoyante, et sa forêt tropicale luxuriante font des îles Togian un vrai paradis sur terre.
• La marée haute : Une mer turquoise à marée haute et au coucher du soleil à Tanjung Karang. Ce lieu, dont le nom signifie « péninsule de corail » en indonésien, possède de magnifiques fonds marins de faible profondeur. On peut y observer un vrai festival de poissons multicolores dans une eau cristalline et chaude.
• Une mer d’huile : Une mer d’huile dans le « fjord équatorial » de Palu au niveau de Tanjung Karang. Dans cette région, au centre de Sulawesi, malgré son microclimat plus sec par rapport au reste du pays, se trouve des plantations de clous de girofle, de poivrier, de cacao et de coprah.

Oaxaca au Mexique

• La playa Zicatela : La plage de Zicatela à Puerto Esondido, avec ses quatre kilomètres de sable et sa beauté sauvage, est l’un des principaux spots de surf du monde. Surnommé « le pipeline mexicain », ses vagues gigantesques et ses courants puissants sont le terrain de jeu de plusieurs compétitions internationales de surf.
• Zipolite : Le rocher blanc en face de la plage de Zipolite est couvert de fientes d’oiseaux. La plage de Zipolite est nommée « la plage des morts » en zapotèque à cause de ses puissants courants qui ont enlevé plusieurs vies. Zipolite un est petit village récent, créé à la fin des années 1960 par l’arrivée d’un groupe de hippies fascinés par la beauté de la plage.
• Puerto Escondido : La ville portuaire de Puerto Escondido, dont le nom signifie « le port caché » en espagnol, fut fondée en 1928 pour le commerce du café. Sur la côte Pacifique au sud du Mexique, cet ancien port de pêche enfoui dans les cocotiers est aujourd’hui le rendez‑vous des surfeurs du monde entier.
• Un pêcheur au filet : Au bout de la jetée du petit port de Puerto Escondido, un pêcheur jette son filet dans les eaux poissonneuses de cette baie de la côte Pacifique. Cette mer, où vit une abondante faune marine, regorge de magnifiques spécimens de poissons, dont la dorade, l’espadon‑voilier et le poisson coq.

Le Yucatán au Mexique

• La mer des Caraïbes : La mer des Caraïbes, bordée à l’ouest par la côte de la péninsule du Yucatán, est l’une des plus belles mers du monde. Avec ses eaux turquoise et son sable blanc, elle offre des paysages marins magnifiques et une myriade d’îles possédant une beauté sauvage sans pareil.

Istanbul en Turquie

• La mer de Marmara : Des Stambouliotes regardent les bateaux qui attendent en mer de Marmara leur entrée dans le détroit du Bosphore qui communique la mer Noire. À l’opposé, au sud‑ouest, le détroit des Dardanelles communique avec la mer Égée. Située sur une faille géologique, la mer de Marmara s’étend sur une superficie de 11 500 kilomètres carrés.
• Le détroit du Bosphore : Le détroit du Bosphore, qui relie la mer Noire à la mer de Marmara, est une véritable avenue maritime d’une trentaine de kilomètres de long sur une largeur de 500 à 3 000 mètres. Les eaux de ce chenal bleu sont sillonnées par de nombreux navires qui représentent l’un des trafics maritimes les plus denses au monde.
• La Corne d’Or : Les Stambouliotes profitent de la douceur des fins d’après‑midis sur la pointe de la Corne d’Or. Cet estuaire se jette dans le Bosphore à Istanbul et forme un port naturel profond. Cet emplacement privilégié fut choisi par les Grecs pour fonder la ville de Byzance. L’estuaire borde la presqu’île du vieux Stamboul avec ses mosquées impériales qui symbolisaient la puissance du sultan.

Les mers Égée et Marmara en Turquie

• Deux parasols : La réserve naturelle de la presqu’île de Dilek s’enfonce dans la mer Egée, face à l’île grecque de Samos. Couvrant les contreforts montagneux, une forêt de pins abrite une faune et une flore abondante. Des otaries et des tortues peuplent la côte qui possède de belles plages et des falaises.
• La mer Égée : La mer Égée est une mer intérieure du bassin méditerranéen qui s’étend entre les côtes aux reliefs accidentés de la Grèce et de la Turquie et qui communique avec la mer de Marmara par le détroit des Dardanelles. Elle se caractérise par un enchevêtrement de la terre et de la mer avec des golfes profondément enfoncés dans les terres et des presqu’îles.

La côte lycienne en Turquie

• La baie d’Adrasan : Au pied du mont Musa et à proximité de la cité antique d’Olympos, la baie d’Adrasan est un petit paradis isolé. La plus belle plage de la région est lovée au fond de cette baie, encadrée par les montagnes. Le petit village d’Adrasan est une étape de la Voie Lycienne.
• Un tombeau lycien : Cette tombe lycienne, à demi immergée devant la citadelle de Kaleköy, reproduit probablement l’architecture des maisons en bois des Lyciens de l’Antiquité. Ce sarcophage, avec sa silhouette en hauteur, surmonté d’un couvercle de forme ogivale rappelant une carène de bateau renversée, est typique de la région.
• Kaleköy : Construit sur les ruines de l’antique Simena, Kaleköy, littéralement « le village au château », est un petit port naturel. Au sommet du fort se trouve une vue imprenable sur la baie. De nombreux vestiges lyciens se trouvent dans le village et ses alentours, notamment d’anciens sarcophages.
• Kekova : Kekova, aussi appelée Caravola, est la perle du chapelet d’îles désertiques face du village de Kaleköy. Aujourd’hui inhabitée, elle renferme les ruines de la cité antique d’Apollonia. Suite à un tremblement de terre qui affaissa le sol, une partie de ces ruines sont englouties dans des eaux limpides.